sexta-feira, 30 de abril de 2010
quarta-feira, 28 de abril de 2010
para o re-enactment de cut piece
sábado, 24 de abril de 2010
sexta-feira, 23 de abril de 2010
quinta-feira, 22 de abril de 2010
Pequena Biografia sobre Hélio Oiticica
Hélio Oiticica foi um dos mais criativos artistas plásticos brasileiros. A síntese de sua obra são seus belos "Parangolés" (1964): capas, estandartes ou bandeiras coloridas de algodão ou náilon com poemas em tinta sobre o tecido a serem vestidas ou carregadas pelo ator/espectador, que passa a perceber seu corpo transformado em dança. Quase uma poesia, pois a obra de arte só se revela quando alguém a manuseia, a movimenta. Como bem definiu o poeta Haroldo de Campos, o "Parangolé" é uma "asa-delta para o êxtase". Carioca anarquista, Oiticica transitou entre os morros do Rio de Janeiro e os Estados Unidos, onde morou de 1948 a 1950, época em que se mudou com a família, e a partir de 1970, quando foi para Nova York. Aluno de Ivan Serpa, iniciou sua trajetória artística ligado às experiências concretas e neoconcretas. Das pinturas em guache sobre cartão, saturadas de cor e sem perspectivas, rompeu com o conceito tradicional de quadro e elaborou os "Monocromáticos" ou "Invenções" (1958-1959): placas de madeira que recebem várias camadas de tintas e dispostas na parede aleatoriamente. Cada vez mais desejoso de integrar a arte à experiência cotidiana, passou a propor a participação do espectador pela vivência visual, em obras como os "Bilaterais" e os "Relevos Espaciais" (1959): placas de madeira pintadas e suspensas por fios presos no teto; e os "Núcleos" (1960-1963): placas de madeira pintadas em sua dupla face e penduradas no teto por um suporte de madeira. Os primeiros parangolés são construções em madeira a serem penetradas pelo espectador, que caminha sobre areia, toca em objetos, escuta ruídos etc. Os segundos, recipientes de diversos materiais, como madeira, vidro, lata e plástico, contêm elementos como areia, pedra e carvão colorido, que devem ser manipulados. Certa vez, escreveu: "A obra nasce de apenas um toque na matéria. Quero que a matéria de que é feita minha obra permaneça tal como é; o que a transforma em expressão é nada mais que um sopro: um sopro interior, de plenitude cósmica. Fora disso não há obra. Basta um toque, nada mais".
fonte: www.netsaber.com.br
Pequena Biografia de Lygia Clark
Pintora, escultora, auto-intitulou-se não-artista. Nasceu em Belo Horizonte, 1920.1947 inicia-se na arte no Rio de Janeiro. Dedica-se ao estudo de escadas e desenhos de seus filhos, assim como realiza os seus primeiros óleos.
De 1954 a 58 desenvolve uma pintura de extração construtivista, restrita ao uso do branco e preto em tinta industrial. Em 1960, cria os Bichos, estruturas móveis de placas de metal que convidam à manipulação e a Obra-mole, pedaços de borracha laminada entrelaçados. A partir de meados da década de 60, prefere a poética do corpo apresentando proposições sensoriais e enfatizando a efemeridade do ato como única realidade existencial . De 1970 a 75 reside em Paris. Como professora na Sorbonne propõe exercícios de sensibilização, buscando a expressão gestual de conteúdos reprimidos e a liberação da imaginação criativa. No período de 1978a 85 usa Objetos Relacionais com fins terapêuticos. Falece no Rio de Janeiro, em 1988. A trajetória de Lygia Clark faz dela uma artista atemporal e sem um lugar muito bem definido dentro da História da Arte.
terça-feira, 20 de abril de 2010
Convite para MEDIT-ação performática 3
www.unirio.br
Informaçoes: heroidocotidiano@gmail.com
Matéria do Jornal "O Globo" sobre os Heróis do Cotidiano
Homem faz flexão pelado em diversos locais na China
Chinês diz que não sofreu represália por posar nu.
domingo, 18 de abril de 2010
terça-feira, 13 de abril de 2010
H.T. Lehmann, "Teatro e Performance"
Hamlet, by Wooster Group (2009)
Site do Wooster Group:
http://www.thewoostergroup.org/
Entrevista de Elizabeth LeCompte, diretora teatral do Wooster Group:
http://www.liberation.fr/culture/0101300560-elizabeth-lecompte-metteur-en-scene-du-wooster-group-nous-pratiquons-un-nouveau-naturalisme-house-lights-par-le-wooster-group-m-s-d-elizabeth-lecompte-theatre-de-la-bastille-festival-d-automne-mar-sam
LA FURA DELS BAUS
Naumachia
Freedom
Le Grand Macabre
Metamorfose
Las Troianas
ARIANE MNOUCHKINE
Morte de Molière (cena final do filme)
Le Dernier Caravansérail
LIVING THEATRE
video de 1975 restaurado (Paradise Now)
Documentário a Ponte de Eric Steel
A ponte, parte I
ARNULF RAINER
BOBBY BAKER
Pierrick Sorin
http://www.pierricksorin.com/index.htm
Vidéo comentado em sala de aula:
(infelizmente, nao encontrado na internet...)
http://espace-holbein.over-blog.org/article-20563616.html
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Ce film est une parodie des documentaires à vocation "culturelle" que l'on peut -ou que l'on a pu voir à une certaine époque- sur des chaînes de télévision comme Arte ou la Sept. La forme emprunte aux codes de ce type d'émission destinée à un public choisi. L'ambiance et le cadre sont gentiment extravertis, mais toujours avec mesure. Pierrick Sorin, tel un Zelig des arts plastiques, provoque le rire en incarnant des types d'artistes que l'on a forcément croisés un jour ou l'autre et dans lesquels nous retrouvons tous les défauts spécifiques à la profession. | |||||
Les œuvres
-Une énorme goutte d'eau en suspension au dessus de la ville (14) sera réalisée par l'artiste hongroise, adepte de «l'anti-forme», et pour réaliser cette œuvre extraordinaire, elle travaillera en collaboration avec les unités scientifiques les plus pointues du moment.
-Sirki Pinheiro, l'artiste portugais exalté, se servira de la façade de la faculté de médecine de la ville de Nantes comme d'un écran géant où seront projetées des images d'opérations chirurgicales filmées en direct (15) mais retravaillée par ses soins de «manière organique».
-Le ténébreux artiste espagnol «handicapé dès l'enfance» (mais qui travaille depuis vingt ans sur le thème du «corps en mouvement») fera danser les habitants sur le rebord du toit de l'opéra de la ville, sous forme d'hologrammes (16).
-La délicate Krips Roniker, d'origine allemande, fera apparaître dans le ciel un immense arc-en-ciel à l'échelle du paysage qui ne se manifestera pleinement que lorsque l'humeur des habitants sera réellement positive (17).
-Un autre projet titanesque est confié à un artiste grec, Eros Spinaki, qui imaginera d'occuper un mini gratte-ciel au centre de Nantes en le transformant en une «lampe-aquarium» géante qui va s'animer de l'intérieur de mouvements gluants et colorés à l'image de ces lampes d'ambiance décoratives des années 70. Il évoquera, à son sujet, un «hommage à l'apparition de la vie» et en fera le symbole de «l'identité visuelle de la ville» (18).
Et enfin, la dernière œuvre (ci-contre), c'est celle de Pierrik Sorin et il va en expliquer le fonctionnement : l'œuvre devra être perçue de nuit par des gens qui sont en mouvement dans le tramway ; des mannequins alignés, légèrement différents l'un de l'autre, créeront l'illusion (à la manière du cinéma d'animation) d'une métamorphose d'un homme en femme ou de l'inverse. | |||||
Ce reportage se terminera avec la réapparition du gentil présentateur donnant un avant-goût de l'émission diffusée la semaine suivante et qui aura pour thème «le plus grand défilé de mode de tous les temps» : 2000 mannequins défileront en pleine forêt canadienne, une «manière originale, dit-il, de marquer le passage au 3ème millénaire»... Mais avant cette évocation de la prochaine Folie, nous aurons eu droit à un commentaire en voix-off évoquant le versant économique de l'opération "Nantes, projets d'artistes", ainsi que la polémique qui ne manquera pas d'éclater au sujet de cette commande publique d'envergure reposant sur «des arguments artistiques peu convaincants». |
Cette œuvre, Nantes, projets d’artistes (qui date de 2000), porte un coup sérieux à la crédibilité de l’art contemporain. Il faut avoir en mémoire le débat virulent et les attaques contre les pratiques contemporaines qui se sont développées durant toute la décennie qui précède et qui ont largement dépassé le milieu des professionnels ou des galeristes.
Dans un livre qu’il a publié sur l’artiste, Pierre Giquel rappelle que «Sorin n’a jamais caché sa réticence à l’égard du monde de l’art contemporain. Jugée par lui «élitiste», relevant parfois de la supercherie (la fin des années quatre-vingt voit surgir la revendication du «n’importe quoi» et cela coîncide étrangement avec les débats franco-français qui sévirent pendant quelques années), l’œuvre d’art le rend perplexe. Mais plus encore, le sérieux, la certitude d’un milieu qui le légitime, la prétention à une vérité deviennent les lieux d’une moquerie acerbe que tout aussi bien il s’inflige à lui-même». **
Mais cette relation à l'art en général, et à l'art contemporain en particulier, est très généreusement ambivalente chez Pierrick Sorin.
On aura noté les références et les relations constantes au tableau ("La Belle Peinture est derrière nous ", voir ici), ou aux formes et aux catégories du tableau (le triptyque dans "La Bataille des tartes"), à la sculpture (l'épisode de la cage de foot «qui ressemble à une sculpture d'art contemporain» dans "Pierrick et Jean-Loup", voir là), à la photographie ou au clip vidéo (encore "Pierrick et Jean-Loup"), etc. Pierre Giquel dans le même ouvrage écrit : «(…)un mouvement contradictoire anime assurément cette œuvre qui se déchire entre l’amour et la dénégation. La construction des films, le traitement de l’image, l’installation des éléments dans l’espace entretiennent une relation subtile avec ce que l’on appelle une œuvre d’art. Même lorsqu’il fustige les prétentions à faire œuvre.»***
L'œuvre serait donc à venir.
En évoquant son temps, Jean Starobinski posait cette question :«L'art de notre siècle aurait-il partie liée avec la dérision ?»**** | |||||
Filé de peixe - performance "pirataria da video-arte"
O Filé de Peixe se destacou por realizar, inúmeras vezes nesse período, intervenções de natureza efêmera, com base no audiovisual, caracterizadas pela ocupação compulsório do espaço público, agregando ao ar livre artistas, moradores de bairro, transeuntes em geral, intervindo no trânsito normal, na dinâmica cotidiana dos lugares e das pessoas.
Os eventos realizados pelo Filé de Peixe, em parceria com coletivo Treze Numa Noite, primam pelo hibridismo, pelas ações performáticas, poéticas e sonoras, favorecendo a expressão conjugada de diversas linguagens, proporcionando a outros artistas e grupos um momento de experimentação radical, a ser vivenciado como fase constitutiva para desenvolvimento dos seus trabalhos artísticos.
Além de mais de trinta ações de intervenção e ocupação de espaços artísticos não convencionais, podemos destacar como as principais incursões do coletivo Filé de Peixe, o VI Simpósio Internacional de Contadores de Histórias / Sesc-Copacabana, Rede Ocupação em Santa Teresa, Centro de Experimentação Poética(CEP20.000) e o MaC-Filé, ocupação artística no pátio do MAC de Niterói, em 2008.
*PIRATÃO*
Piratear videoartes: essa é a proposta do coletivo Filé de Peixe, que em parceria com o grupo Treze Numa Noite, irá deslocar a exibição e acesso a esses trabalhos para as ruas.
Trata-se de uma pirataria agenciada por artistas, no papel de camelôs circunstanciais, como mecanismo de introduzir no campo das artes plásticas, a exemplo do que aconteceu na indústria da música e do cinema, um amplo debate sobre o modelo de inserção, circulação, exibição e consumo dos trabalhos, bem como suas implicações comerciais e relações entre artistas, galeristas, colecionadores, críticos e curadores, além do público comum.
Ofertados sobre telas aramadas, com embalagens de plástico e capas xerocadas, exatamente como fazem os camelôs piratas no centro da cidade, as videoartes e filmes de artistas serão vendidas no melhor esquema “um é 5(reais), três é 10(reais)!!”.
No acervo do Filé de Peixe, trabalhos clássicos de Letícia Parente, Hélio Oiticica, Marcos Bonisson, Ernesto Neto, Ricardo Basbaun, Nam June Paik, Bill Viola, Marina Abramovic, Andy Warhol, Maya Deren, Márcia X, Alex Hamburger, Joseph Beuys, Yoko Ono, Cindy Sherman, dentre outros, ao lado de trabalhos recentes de artistas como Alexandre Sá, Daniela Mattos, Analú Cunha, Daniel Murgel, Andrei Müller, Gustavo Speridião, Carlos Contente, André Sheik, além da produção do próprio coletivo e de outros, num total de mais de 300 vídeos, pirateando artistas como forma de inseri-los, ainda que involuntariamente, na performance/reflexão que queremos suscitar.
PIRATÃO quer evidenciar a novíssima e vasta produção no campo da videoarte, facilitar o acesso/contato com trabalhos clássicos, propiciando um ponto aglutinação e difusão, uma rede de trocas de materiais e idéias, ousando um contato direto com público comum, e a utilização de uma ferramenta polêmica e controversa para o fomento ao debate: a pirataria.
segunda-feira, 12 de abril de 2010
Curta que ganhou o OSCAR de melhor animação.
Logorama from Marc Altshuler - Human Music on Vimeo.
Orlan
DEFINITION
Carnal Art is self-portraiture in the classical sense, but realised through the possibility of technology. It swings between defiguration and refiguration. Its inscription in the flesh is a function of our age. The body has become a “modified ready-made”, no longer seen as the ideal it once represented ;the body is not anymore this ideal ready-made it was satisfaying to sign.
DISTINCTION
As distinct from “Body Art”, Carnal Art does not conceive of pain as
redemptive or as a source of purification. Carnal Art is not interested in the plastic-surgery result, but in the process of surgery, the spectacle and discourse of the modified body which has become the place of a public debate.
ATHEISM
Carnal Art does not inherit the Christian Tradition, it resists it! Carnal Art illuminates the Christian denial of body-pleasure and exposes its weakness in the face of scientific discovery. Carnal Art repudiates the tradition of suffering and martyrdom, replacing rather than removing, enhancing rather than diminishing - Carnal Art is not self-mutilation.
Carnal Art transforms the body into language, reversing the biblical idea of the word made flesh ; the flesh is made word. Only the voice of Orlan remains unchanged. The artist works on representation.
Carnal Art finds the acceptance of the agony of childbirth to be
anachronistic and ridiculous. Like Artaud, it rejects the mercy of God -Henceforth we shall have epidurals, local anaesthetics and multiple analgesics ! (Hurray for the morphine !) Vive la morphine ! (down with the pain !) A bas la douleur !
PERCEPTION
I can observe my own body cut open without suffering !....I can see myself all the way down to my viscera, a new stage of gaze. “I can see to the heart of my lover and it's splendid design has nothing to do with symbolics mannered usually drawn.
Darling, I love your spleen, I love your liver, I adore your pancreas and the line of your femur excites me.
FREEDOM
Carnal Art asserts the individual independence of the artist. In that sense it resists givens and dictats. This is why it has engaged the social, the media, (where it disrupts received ideas and cause scandal), and will even reached as far as the judiciary (to change the Orlan's name).
CLARIFICATION
Carnal Art is not against aesthetic surgery, but against the standards that pervade it, particularly, in relation to the female body, but also to the male body. Carnal Art must be feminist, it is necessary. Carnal Art is not only engages in aesthetic surgery, but also in developments in medicine and biology questioning the status of the body and posing ethical problems.
STYLE
Carnal Art loves parody and the baroque, the grotesque and the extreme.
Carnal Art opposes the conventions that exercise constraint on the human body and the work of art.
Carnal Art is anti-formalist and anti-conformist.
sexta-feira, 9 de abril de 2010
Renato Cohen, Performance como linguagem.
quarta-feira, 7 de abril de 2010
terça-feira, 6 de abril de 2010
Flash Mob : Ferramenta de publicidade ?
sexta-feira, 2 de abril de 2010
http://www.ladepeche.fr/article/2007/07/26/21442-Hygiene-Que-faire-des-crottes-de-chiens.html
Aqui o video:
bandeiras e coco
Performance?